Lectures...

Des lectures d'hier et d'aujourd'hui, d'ici et d'ailleurs, et celles de demain qui n'ont pas encore été traduites :)


mardi 24 février 2015

Des nouvelles...

Surchargée de travail ( enfin, je suis en "vacances, quoi), ça fait un bon moment que je n'ai rien publié ici. J'ai néanmoins eu le temps de m'acheter quelques livres, en continuant sur ma "lancée Maxime Chattam" et en suivant les conseils de ma blogueuse préférée, /http://pageaprespage.fr/, parmi lesquels: 

La suite du Léviatemps, que j'ai lu il y a quelques temps:

Et une auteure dont mon amie m'a beaucoup parlée, Tatiana de Rosnay: 

Voilà! Il ne me reste plus qu'à trouver du temps pour les apprécier :)

jeudi 12 février 2015

Providence, Valérie Tong Cuong

C’est un roman que j’ai acheté la semaine dernière, et que j’ai dévoré dans la journée. Publié chez J’ai lu en mars 2010, c’est un roman choral, genre que l’auteure maîtrise à merveille, et je suis objective J

Résumé : Une secrétaire exploitée, un amoureux transi sous le joug de sa maîtresse capricieuse, une brillante avocate dont la couleur de peau empêche l'avancement, un vieil homme seul atteint d'un cancer fulgurant... Tous ces personnages vont voir leur vie basculer grâce aux petits événements que la " Providence " jette sur leur passage. Croisant le destin de personnages en mal d'amour, Providence est un roman choral qui pointe, avec émotion et drôlerie, les solitudes de notre époque, les lâchetés de notre société.


J’ai tout de suite accroché, dès la première page. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. J’ai déjà lu L’atelier des Miracles, que j’avais adoré également, et on retrouve les mêmes règles d’écriture dans Providence : à chaque chapitre, son personnage, à chaque personnage, son histoire. Mais dans un roman choral, forcément, tous les personnages finissent par se retrouver, c’est le but. Un homme va à la boulangerie, veut se faire plaisir avec un macaron mais ne sait pas quel parfum choisir, laisse le dernier à la violette à une jolie jeune femme. Une femme va à la boulangerie, prend le dernier macaron à la violette, fait une allergie. Une jeune avocate a enfin sa chance, doit prendre les rennes car sa supérieure a fait une allergie. C’est comme ça, chapitre après chapitre, et ça continue, encore et encore. Chacun voit son destin évoluer, son chemin changer car il a croisé cette personne précise, à ce moment précis, et s’il ne l’avait pas croisée, son destin aurait été chamboulé. « Elle » aurait été renvoyée ; « Elle » ne serait pas restée bloquée dans l’ascenseur ; « il » n’aurait pas pu donner son sang…
C’est bien ça, la Providence, ce battement d’aile de papillon qui peut changer le cours d’une vie.
C’est un roman qui ne se lit pas, qui se dévore en un rien de temps, et on en redemande!

vendredi 6 février 2015

le 5ème Règne, Maxime Chattam



Aujourd’hui, je vous parle du premier roman d’un auteur que j’adore, Maxime Chattam. Sorti en 2006 chez Pocket, le 5ème Règne a reçu le prix du roman fantastique au festival de Gérardmer.
Synospsis : Ils auraient dû se méfier. Respecter le couvre-feu instauré depuis le meurtre du jeune Tommy Harper, retrouvé étranglé près de la voie ferrée. Reposer ce vieux grimoire poussiéreux tant qu'il était encore temps. Ne pas en tourner les pages. À présent, Sean le rêveur et sa bande vont devoir affronter le Mal absolu : à Edgecombe, petite ville tranquille de Nouvelle-Angleterre, les éléments se déchaînent, de nouveaux adolescents disparaissent et de mystérieux hommes au charisme effrayant font leur apparition.


En commençant ce roman, j’ai été tout de suite emballée par l’introduction de l’auteur, sa description des cinq différents règnes, la présentation des personnages.
Puis, peu à peu, je me demandais où le narrateur voulait nous emmener. Dans une ambiance à la Stephen King- référence notamment à un site indien hanté et à une résidence dans le Maine- et un long début qui m’a fait penser aux Goonies, avec tous ces ados qui se retrouvent dans le grenier d’un grand-père et tombent sur un livre maléfique, je n’étais pas sûre de là où j’allais. Malheureusement, ce sentiment m’est resté jusqu’à la fin.
Ayant parlé de ce roman avec une amie fan inconditionnelle de Maxime Chattam, je m’attendais à du fantastique, alors que j’ai découvert Maxime Chattam avec le Léviatemps, La promesse des Ténèbres et In Tenebris, des romans policiers qui m’ont emportée dans un autre monde. Là, je lisais des mots, rien de plus, je n’étais pas dans l’action, je n’avais pas d’empathie avec les personnages, très nombreux. La seule émotion que j’ai eue concernait le grand-père d’un des garçons, mais je pense que cela est plus lié à mon histoire qu’au roman en lui-même. Je ne me suis pas laissée entraîner dans ce monde maléfique, je n’ai pas eu peur de l’Ogre, ni du monsieur aux yeux bleus…
Ce qui m’a aussi déplut dans ce roman, et là, il y a eu problèmes de relecture, c’est la ponctuation et le « malgré que » qui m’a gênée, mais ça, je sais que c’est mon gros défaut en tant que linguiste. Je me suis fait violence pour passer outre et me plonger dans le roman, mais je n’ai pas réussi. D’ailleurs, dans sa postface, Maxime Chattam explique qu’il espère nous avoir fait peur… Je suis désolée, Monsieur Chattam, malgré tous les avis positifs que j’avais entendu/lu sur ce roman, je n’ai pas eu peur L

Je souhaite aux lecteurs de frissonner de peur plus que moi à chaque page !

lundi 2 février 2015

Achats du weekend!

Et voilà, j'ai craqué! Je n'avais rien acheté depuis le 06 novembre, date de sortie de 13 à Table! chez Pocket. J'étais super fière de moi, mais nul n'est infaillible, et j'ai faillit.

Donc, au programme des prochaines lectures:
deux Sophie Kinsella que je n'avais pas encore
Drôle de mariage (the Wedding girl), chez Pocket


Une maison de rêve, chez Pocket


People are not people, Lauren Weisberger, Pocket



Providence, Valérie Tong Cuong, J'ai Lu


The Moor's last sigh, Salman Rushdie, Random House